jeudi 29 mai 2014

Gifs Session

Résumé en images animées d'une bonne petite session entre potes.

(gif animés réalisés avec PhotoScape, logiciel simple et gratuit)


























mardi 27 mai 2014

REVIEW : FIVE MILE - Widowmaker


J'ai eu l'opportunité de tester une des planches les plus intrigantes du marché, la FIVE MILE Widowmaker. (Merci Hawaiisurf)
Un shape d'outre-espace, ultra-travaillé, plein de plis et replis qu'il est presque impossible d'évaluer sans être monté dessus.



Voici donc mes impressions sur ce véritable Objet Roulant Non-Identifié :

  • Longueur - 38.25"
  • Largeur - 10"
  • Entraxes - 29.5" à 31"
  • Concave - 0.75"
  • Rabaissement - 0.35"
  • Flex - Rigide
  • Perçage - Oldschool
  • Construction - 9 plis Erable/bamboo/fibre de verre triaxiale

Setups : Trucks GUNMETAL V2 10" - Roues THESE ATF317 82A, PHAT DEANZ Phat Rollz 70mm 79A, CADILLAC Crusher 74mm 78A






En main, la planche semble robuste, assez massive par rapport à ce que j'ai l'habitude de rouler. Les finitions sont correctes sans être exceptionnelles. La déco du dessous dépasse, par endroits, légèrement sur la tranche du plateau. La peinture noire est fragile et prend rapidement les griffures.
En posant le grip je m'obstine 12 secondes à vouloir éviter les plis ... puis me ravise, la tache est impossible (ou presque) ! :p
Les découpes de roues de la Widowmaker sont larges et acceptent aisément les roues de 75mm (voir plus). Deux perçages sont disponibles à l'avant et à l'arrière, pour régler au mieux votre entraxe ; mais on est déjà très bien sur le plus court. La planche a un flex très très léger pour mes 70kg et pas de torsion.


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Le shape est ultra-directionnel et semble optimisé pour la vitesse, le confort en position(s) de Descente.

Je commencerai ma review par le départ : la phase de poussée.

Pour les pousseurs "classiques",  la poussée est facile mais pas optimale non plus, la plateforme avant semble très légèrement inclinée vers le nose.


Pour les pousseurs Mongo* comme moi (*avec le pied avant), quel inconfort ! Les orteils se retrouvent dans la "rigole" transversale, la voûte plantaire en déséquilibre sur l’arête du W-concave. Il faut pousser avec précautions et donc oublier toutes idées de faire des courses avec cette planche, ou apprendre à pousser avec l'autre pied.

Je ne freine pas au pied en descente mais il va de soi que les freinages en Dropfoot (ou Footbrake) seront également TRÈS perturbés pour les freineurs en Mongo.



Une fois les pieds dessus, on oublie très vite la forme "tarabiscotée" qu'on avait sous les yeux. Les pieds trouvent leurs places facilement. Le shape est beaucoup plus permissif qu'il n'y paraît. Les appuis sont verrouillés mais le plateau accepte pas mal de placements de pieds différents. Le microdrop associé au concave sécurisent bien le pied avant. Le pied arrière en diagonale de l'arête du W-concave permet de gros appuis en courbe : en plus des orteils et du talon, la voûte plantaire travaille vraiment sur le dôme pour plaquer la planche au sol et agripper la route.


En schuss on est très bien installé, on sait en toutes occasions où sont situés les pieds sur la planche, sans même regarder. De l'ensemble se dégage un sentiment de sécurité. Les 2 jambes travaillent sereinement, la prise de vitesse est facile, la planche "colle" aux pieds.


Besoin de perdre de la vitesse ?
On recule le pied arrière sur le drop, on se redresse et en quelques carves appuyés le tour est joué. L'entraxe plutôt long, les "ailettes" moulées et l'arrière plus étroit permettent de trouver sans difficulté une glisse saine et contrôlable. On peut aisément sortir le talon arrière de la planche pour assurer notre "lancement de glisse". J'arrive rapidement à faire glisser debout les 4 roues à vitesse respectable ; sans craindre une raccroche imprévue.


En slide, la planche est un chausson, le pied avant ne bronche pas et l'arrière est très confortablement installé sur le drop pour pousser. En powerslide 180° le retour (Switch) n'est pas plus compliqué que sur une planche au shape directionnel "plus classique", on est verrouillé par l'association concave/microdrop

Pedro heureux possesseur de la FIVE MILE Widowmaker et relecteur de cette review

Drop avant


Drop arrière


Le déroutant "coude" situé à mi-chemin entre les deux pieds est déjà un lointain souvenir...



En résumé, la FIVE MILE Widowmaker est un missile ; une redoutable planche de descente sans concession. Elle s'avère à l'usage : confortable, sécurisante et réactive. Son terrain de prédilection reste la vitesse : en longues lignes droites comme sur des tracés plus sinueux. On y est très à l'aise en schuss, en courbes appuyées, en slide. Pour la polyvalence par contre, on repassera. :p 


  • Pour pousser fort (hors Mongo), rouler vite, schusser longtemps, carver, glisser fort et proprement ... N'hésitez pas !
  • Pour danser, faire des figures, se ballader ou uniquement slider ... Oubliez-la !

Si vous avez l'occasion, essayez-la, elle ne vous laissera de marbre ...




jeudi 22 mai 2014

REVIEW : OVERLORD Utah par Pommy

Pommy nous livre une review complète de la OVERLORD Utah 


Belle surprise lorsque, il y a quelques mois, je fus contacté par Beurt, shaper d'OVERLORD me proposant de m’envoyer un prototype à tester. En grosse partie parce que j’avais presque réussi à casser une Pool board de la marque sus-citée à force de boneless répétés, durant des mois ... en fait des années.
 OVERLORD me confie donc cette nouvelle planche en me promettant un custom « bourrin » qui se traduit par un gros renfort par rapport au futur model de série (plus de plis). Sans vouloir dévoiler mon poids de jeune fille, et pour des raisons d’appréciations de cet article, sachez que je pèse au moins deux gros sacs de ciment de 50kg et que je mesure 1.80 m.

  Et un beau jour de décembre, je reçois donc un beau paquet contenant l’objet. Je suis tout d’abord pris aux tripes par la finition de l’engin que l’on veut bien appeler « proto ». Je m’attendais à une planche « brute de décoffrage », mais la finition est déjà au-dessus de la moyenne de ce que l’on peut trouver de série chez la plupart des grandes marques. Sans déco, le bambou apparaît brut sous un vernis impeccable et brillant ce qui donne un superbe cachet à la planche. 

Caractéristiques techniques:

  • 90cm de long, 23 au plus large
  • nose, tail,
  • entraxe de 56 cm
  • cambre + concave
  • sandwich érable/bamboo

 La Utah à la sortie du carton


  En revanche, je suis assez décontenancé... Je n'ai jamais ridé ce type de board, ayant une pratique plutôt axée Descente ou bowl, je me demande ce que je vais mettre comme setup et comment je vais l'utiliser. Qu'à cela ne tienne, je vais essayer de vous raconter mes diverses expériences en Utah!

Setup :
Plus par manque de temps que par flémardirse d'aller acheter du matos, j'ai monté la Utah avec ce que j'avais sous la main. Un setup de la vieille école que les anciens apprécieront :

  • Randall 150mm
  • Krypto Road bleu 70 mm
  • Bushing : Inconnus mais très mous (étaient avant sur une board de slalom)




Prologue: Night of Cruising dans Lyon

  Pour notre première sortie, on va pousser. Quoi de mieux pour prendre une board en main et se faire une idée. Je pousse habituellement en POLITIC foamcore, et cela va vite changer de sensation.
La planche est plutôt de bonne proportion et se faufile assez bien car elle a un gabarit sous les pieds qui est assez petit. Je trouve assez vite mes repères dessus car le cambre offre une position de pieds tout à fait naturelle et logique. Le cambre crée deux "places à semelles" qui permettent de forts appuis, notamment pour pomper sévère, ce qui s'avère assez agréable avec mes bushings de slalom.

  Après ces 11 kilomètres ensemble, j'en ai quand même plein les pattes, le modèle custom spécial Pommy se révèle assez lourd à pousser, de par ses plis supplémentaires pour renforcer la planche.
  Cependant, il faut aussi savoir que le Randall 150 est un truck assez haut et que je n'ai pas trouvé qu'il était adapté à la pratique du pushing.  Ce n'est pas grave, la planche me plait, le tail et le nose augmente le potentiel d'amusement, on peut faire du tic-tac, lever pour les trottoirs, et se tenter quelques pas de dancing malgré mon niveau plus que médiocre. Fin de l'act 1.



Episode 2: Shooting photo et glissades au Mont Verdun

  Pendant l'hiver, j'ai rendez-vous avec Guillaume Ducreux, photographe de son état, pour réaliser quelques clichés pour le CDK. Je me dis que c est une bonne occasion de mettre la planche dans le pentu.

 Et là, j'hésite! Le but, c'est de descendre les deux premiers virages et de lancer des slides, avec donc une vitesse correcte. Les premières sensations en descente sont vraiment top. Le calage des pieds permet de contre-balancer le petit gabarit de la planche. Je prends vite mes marques, le shape met en confiance et permet d'avoir une bonne maîtrise avec un stance naturel. Je me surprends même à pousser fort pour arriver vite.

  Coté glissades, là, c'est vraiment efficace. La taille de la planche lui confère une belle réactivité en glissade, c'est joueur et précis à la fois. Je précise que je slide "à l'ancienne", au sol, back, front où two-hands down. Prise en main franche et directe en slide, pas de temps d'adaptation. 



Concernant les slides, j'ajoute que je ne pratique pas les glissades-puissantes (Powerslide) , mais avec ce matos, j'ai bien été obligé de m'y mettre. Après quelques essais à Parilly, je suis ravi de constater que je passe mes premiers powerslides, et que j'arrive à mettre la planche en 180. Je n'ai pas d'autre référentiel, mais je dois dire que la planche m'a mis en confiance quant à cette pratique et que je pourrais dire qu'elle a un "instinct naturel" à pratiquer la glissade puissante.


Hermann Nogueira en glissade puissante sur Utah




Episode 3: Le Bowl


A l'ancienne dans le Bowl


Habitué à la poolboard d'Overlord, je teste la Utah au bowl avec curiosité. Le parc de la Soie est un ditch assez accessible, quasiment sans coping, et la courbe est au rendez-vous. La Utah a le comportement que j'attendais quant à son shape et sa longueur.
Ride tout en courbe, prise d'appuis longs et coulants. Ça rappelle le surf, on grabe également facilement. Le nose et le tail permettent  beaucoup fantaisies, au programme, boneless, quelques tricks à l'ancienne à base de planche lancée à la main. La résistance est au rendez-vous, je n'ai pas ménagé le proto' voué à encaisser les réceptions, chocs, râpages  et compagnie, dans l'épreuve reine du trashage de board. 


Boneless

 Hermann Nogueira sur le seul coping du ditch


Elle ne me fera pas regretter ma bonne vieille pool board, mais un profil général se dessine pour la Utah : POLYVALENCE.


Epilogue: La descente

Retour au Mont Verdun pour l'ultime test descente. Fort de mon expérience lors de ma session slide, j'y vais gaiement! Après une rapide prise de vitesse, mon set up de brocante montre ses limites! Ça bouge fort, mais le point positif, c'est que malgré son faible empattement et son petit gabarit pour la descente, la Utah a tout d'une grande pour le carving, car elle me permet de finir les 2.6 km de descente sans encombre en décrivant de jolies courbes.

 Le shape et le concave permettent de prendre des appuis sereins, allant jusqu'à faire chasser les roues arrières. Vitesse contrôlée et carving en bonne et due forme.

  Je ne pense pas cependant qu'il fût une très bonne idée de me mettre la tête dans les genoux, ce n'est clairement pas une planche pour un programme DH pour les grands gabarits. Par contre, comme le disait très justement Hermann qui a aussi testé la planche, cela peut être une porte d'entrée haute gamme pour les ados ou les filles sur du DH. 
J'imagine aisément que les shredders y trouveront forcement leur compte de par la conception et l'esprit de la planche.

Voilà les amis, avant de se quitter, sachez apprécier cette review avec l'ensemble des paramètres que je vous ai énoncé (gabarit du rider, poids de la planche ++ dû au renforcement du proto, setup pas toujours optimisé...).
Quoi qu'il en soit, j'ai bien fait le tour de cette planche, il en ressort un très beau produit, (moulé à la louche en France svp !), très polyvalent pour les touche-à-tout et les sessions de tous les jours. Je pense aussi que cela doit être un très bel atout dans les petites compèt' sur des petits spot entre potes, pour les parcs, mini routes etc ...


Merci OVERLORD de m'avoir fait tester cet ovni! 


mercredi 21 mai 2014

REVIEW : Roues PHAT DEANZ - Phat Rollz


Je n'avais jamais testé de roues de la petite marque américaine PHAT DEANZ. Pierre (a.k.a. Rascasse) m'a gentiment confié, pour un temps, son jeu de roues Phat Rollz.
Je lui ai quand même promis de ne pas les "test-foncer" aux freerides d'Yzeron.  ;)

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I had never tried any PHAT DEANZ wheels. My friend Pierre let me try his Phat Rollz after I promised not to ride them on the hard-rough pavement of the Yzeron Freeride.




Diamètre : 70mm
Dureté : 79A
Surface de contact : 55 mm
Profil : lèvres "carrées"


J'ai beaucoup apprécié ces roues ... VRAIMENT BEAUCOUP ! ... au point de les racheter à leur propriétaire au milieu de mes tests (je vous rassure il lui en reste un autre jeu).

Les PHAT DEANZ - Phat Rollz sont très roulantes et confortables, même sur les bitumes abîmés. Quand on les pousse un peu, leurs lèvres carrées "font le boulot" : elles font preuve d'une bonne accroche et de relance grâce à leur super rebond.

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I loved these wheels ... So much that I literally had to buy them from Pierre (who already had been buying a second set in the meantime).
Phat Rollz are very fast and comfy even on rough pavement. When pushing the limits, squared lips do their job, they grip really well and their good rebound make them speeding up fastly.




En slide, elles sont absolument délicieuses ; leur décroche est saine et prévisible. La glisse est douce, facile à contrôler et consistante sous les pieds : on se sent, à chaque instant, bien en appuis sur ces 4 confortables cylindres d’uréthane.

Pour des roues de ce profil (larges à lèvres carrées), elles glissent plutôt longtemps ; même sans beaucoup de vitesse. Les slides debout se contrôlent vraiment bien. Déglacées, elles glissent plus proprement que bon nombre de roues tendres développées spécialement pour le slide. Niveau usure, elles ont bien résisté aux longs slides sur le parfois chaotique revêtement des routes des Hautes-Alpes.

Pour les connaisseurs, je rapprocherais la glisse des PHAT DEANZ Phat Rollz de celle des ABEC11 Zigzag en uréthane "classic" (vert foncé). Les Phat Rollz sont cependant bien plus robustes. En quelque sorte, le chaînon manquant entre les douces ABEC11 précédemment nommées et les très performantes VENOM Cannibals.

Des roues qui prouvent, une nouvelle fois, que la formule d’uréthane reste LE critère essentiel pour produire une roue de qualité ; prévisible et confortable en glisse ... au-delà même de la forme et la dureté des roues.

PHAT DEANZ propose avec les Phat Rollz d'excellentes roues : performantes, ultra-saines et à l'aise dans toutes les situations. Sûrement les roues les plus polyvalentes que j'ai eu l'occasion de tester !

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For sliding, they're delicious : predictable drift, smooth glide, easy to control and "beefy" under your foot. From the begining to the end of the slide you're feeling comfy on those 4 cylinders of thane.
They glide well for squared lips wheels, even at low speed. Stand-ups are easy to control. When broken in, they slide smoother than many soft sliding wheels. They worn normally and survived the French Alps pavement.
According to me, Phat Rollz glide like ABEC11 Classic thane but they are more wear resistant. Maybe a kind of "missing link" between the smooth ABEC11 Classic thane and the powerful VENOM thane.

With their Phat Rollz, PHAT DEANZ offers amazing wheels : powerful, very smooth in every situation. For me, the most versatile wheels I've ever tried.
Phat Rollz proves, one more time, that the urethane formula is the essential criterion to produce quality wheels, before their shape and hardness.





Bien qu'elles ne soient plus produites, elles sont encore trouvables par endroits sous cette forme (Phat Rollz) et le savoureux uréthane "bleu-79A" est toujours utilisé pour produire 3 autres formes de roues (Mustache Ridez, No nameZ et Big DollZ).




lundi 12 mai 2014

STUNT TOUR 2014

Dimanche 4 mai 2014, départ de Paris pour Mallory, moi et nos quelques mètres cubes de matériel. 4 Skates, 1 Buttboard, 3 paires de roller Quads, des casques, des cuirs, des protections, des roues et tout notre fourbi de camping...



C'est parti pour une semaine de ride !



Après des semaines de pluie ; à Paris pour moi et Londres pour Mallory ; le soleil semble pointer le bout de son nez et accompagner notre fidèle "Vésicule de Légende bleu-chiotte" ...



Dimanche après-midi, l'Auvergne nous accueille dans son sublime décor.


Trop de randonneurs, voitures et motos pour commencer à rider ... Qu'à cela ne tienne, nous décidons d'en profiter pour crapahuter jusqu'au sommet. L’ascension s'avère bien plus longue qu'elle nous paraissait mais le panorama à l'arrivée est à couper le souffle ... La nature dans toute sa splendeur.




Du haut nous prenons le temps d'admirer les courbes que nous dévalerons demain à vive allure. Celles-là mêmes qui accueilleront, du 19 au 21 septembre 2014, la coupe de France de Descente grâce aux copains de l'association Auver'Ride.



Une fois les derniers badauds redescendus, la route du Col est à nous pour une session slide au coucher du soleil. 



Une soirée au coin du feu et une "fraîche" nuit sous tente plus tard, nous profitons de ce merveilleux spot sous un soleil indécent. Arthur nous rejoint l'après-midi, pour un repas gastronomique à l'auberge du Col et quelques furieux runs.

Sur Clermont nous sommes hébergés chez "G-cube" et sa thésarde de compagne ; un accueillant couple de malfrats locaux. "Arthur le Pisciniste" nous abandonne alors pour aller s'enfourner quelques saucisses et grillades auprès de ses vrais amis. :p

Mardi matin nous gagnons Lyon et retrouvons Olivier, un ami parisien, pour une journée de Ride sur le doux spot du Mont-Verdun.


Nous passons la soirée avec les copains/copines Lyonnaises, autour d'une bière et d'un bon burger maison.



Mercredi, il est temps pour nous de filer vers les Hautes-Alpes pour l'OUTDOOR MIX FESTIVAL 2014. Un festival itinérant de sports extrêmes et de musiques. Au programme : 4 jours de ride, 2 spots de fifoux et des concerts le soir.


Nous arrivons en début d'après-midi sur place et profitons pour jeter un œil au premier site de Kayak.


Premiers installés au camping, nous nous lançons dans un mutin teasing-facebook pour les riders encore au boulot ou en chemin. :p


S'en suit 3 jours de ride, de paysages magnifiques, de rires, de sourires, d'apéros, de concerts (pas toujours terribles) ...

Photo ride : Ma Yo 







Le Spot des Orres par Pied Rick




Niveau matériel j'ai pu pleinement tester l'excellente FIVE MILE Widowmaker et j'ai eu un énorme coup de cœur pour les roues PHAT DEANZ Phat Rollz ... Je vous en dirais plus très bientôt.



Dimanche pluvieux... Nous remontons sur la capitale, avec en tête les actions "skateboardistiques" qui nous ont fait vibré et dans le cœur peu de chaque personne avec laquelle on a partagé un moment.

 Anne, Antoine, Arthur, Boris, Clémence, Gaëtan, Jean-Pilip', Mallory, Nina, Olivier, Théophile, Vincent 
...et tous les autres...



Photos : Mallory / Longboardskate

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